Historique de Marrakech Medina - Riad a Marrakech

riad maroc, hotel maroc, sejour et reservation maroc, hebergement hotel, hôtels,riads,villas,kasbah

Riad Marrakech Riad Maroc
Location de Riad
Chambre d'Hôte en Riad
Recherche par :

Service clients

Vivre au coeur de la medina de Marrakech


Depuis bien longtemps, les voyageurs conquis par la magie de Marrakech, son climat ensoleillé et la couleur de ses murs au couchant l'ont appelé la ville rouge.
Marrakech, la medina et sa vie foisonnante, imprécise, bariolée, prisonnière de ses remparts de terre, se retourne dans ses jardins de palmes, ombre et silence peuplé d'oiseaux.

Marrakech, il y aura bientôt mille ans, a surgi de la plaine aride de terre et de cailloux, qu'entourent par le sud les sommets de l'Atlas.
Née pour être capitale par la volonté de quelques nomades venus des confins du Sahara, bousculée par les courants de l'histoire, Marrakech a su garder le charme de ses splendeurs passées.
Et ce n'est pas sans raison que seul son nom draine tout un flot d'images d'Orient, d'exotisme, de parfums de pacotille et qu'elle agite encore, devant nos yeux émerveillés, des tapis décolorés au soleil, l'éclat du cuivre dans la pénombre de ses souks, la nostalgie d'une fontaine dans un palais abandonné.

Marrakech vit toujours, Elle s'est retirée derrière des portes et des murs, dans l'intimité et la fraîcheur de ses arcades entourant des jardins d'orangers et de jasmins.
Dans la medina toutes les maisons ont été bâties sur le même modèle : les piéces entourent le patio, le jardin et au centre la fontaine.
En arabe, on appelle ryad ce type de maison.
La ville, comme un gigantesque dédale, s'est développée horizontalement par juxtaposition de ces ryads qui n'offrent que des façades aveugles et leur porte à des ruelles étroites et sinueuses.
On s'y perd.
De ci, de la, Un minaret, une petite place, haut perché, la tête ébouriffée d'un palmier indiquent, ici une mosquée, le centre d'un quartier, là, un jardin, un palais peut-être?

La fascination qu'exerce la ville tient sans doute beaucoup à cette apparente anarchie. Aux impressions qui se bousculent, aux odeurs, aux couleurs, aux lumières, à la vitesse du défilement des images.
C'est le Maroc, c'est la rue.
C'est la ville quand on la découvre de l'intérieur, en sortant des maisons. L'ombre est légère, l'eau chuchote au bord de la vasque de marbreé La porte s'ouvre sur la chaleur de la ruelle; Marrakech s'étire dans l'attente du soir. Tout incite à la promenade.